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L’histoire d’« Une patate à vélo – Le jeu »

Joël Gagnon, un des fondateurs du Randolph, est un homme créatif passionné par l’univers des jeux de société. Dévoué à ce monde, il est constamment en recherche de nouvelles idées pour créer des jeux hors du commun. Créateur d’«Une patate à vélo – Le jeu», il nous raconte l’envers du décor; comment il a fait pour concevoir ce jeu.

Une idée en développement

Un jour, sa tête bouillonnait: il avait pensé à une mécanique de jeu et voulait s’en servir comme base pour un projet futur. La mécanique était la suivante: tous les joueurs obtiendraient un point s’ils avaient tous la même réponse, mais ils devraient y parvenir sans discuter entre eux. L’aspect qui intéressait Joël était que cette mécanique de jeu fait en sorte que les joueurs doivent non seulement penser à leur réponse, mais aussi répondre en fonction de ce qu’ils pensent que les autres choisiront, ce qui, au final, cré une sorte de confusion amusante entre tous les participants et complexifie le jeu. Par contre, plus il y pensait, plus Joël réalisait que son idée ne se prêtait pas bien à un public adulte parce que les joueurs pourraient tricher en se mettant d’accord au préalable sur la réponse. Néanmoins, son expérience de père de famille, quant à elle, lui fit constater que les jeunes enfants seraient un meilleur public pour cette mécanique parce que eux, contrairement aux adultes, ils sont généralement de nature honnête et répondent souvent directement sans même penser à l’opinion des autres joueurs. Avec cette idée en tête, Joël réfléchit et se dit que si le jeu devait s’adresser à un public jeune, il faudrait alors qu’il ne soit pas trop complexe; les joueurs devraient donc tous avoir la même réponse, soit «oui», soit «non».

 

Voulant mettre à l’épreuve son idée, Joël acheta alors un paquet de photos d’objets et commença à demander à ses enfants si les combinaisons étaient possibles ou non; ils jouaient tous à «est-ce que ça se peut?». Cette expérience se vit révélatrice pour Joël puisqu’il remarqua qu’après qu’ils aient tous votés ses enfants de 5 et 3 ans essayaient de se convaincre mutuellement que leur réponse était la bonne et qu’en tant que parent il avait l’opportunité de découvrir comment ils pensaient et de leur apprendre des choses à son tour. Par la même occasion, de combiner deux choses qui n’allaient pas nécessairement ensemble créait des combinaisons cocasses qui faisaient bien rire toute la petite troupe; un autre point que Joël trouvait intéressant et voulait garder en tête pour son projet.

L’association de l’idée avec «Une patate à vélo»

Le livre «Une patate à vélo» d’Élise Gravel n’est pas ce qui a inspiré Joël dans sa démarche, mais il le connaissait très bien. Effectivement, depuis que son garçon Ulysse a 1 an, il lui en fait la lecture, donc 4 ans plus tard, le livre a eu bien au-dessus de 100 lectures à son compteur. Ainsi, un soir, alors que les enfants de Joël demandèrent à leur père, une fois de plus, qu’il leur raconte l’histoire d’«Une patate à vélo», il se rendit compte que sans le vouloir, il avait créé le jeu de la patate à vélo. Tout comme dans le livre, lorsqu’il jouait à «est-ce que ça se peut?» avec ses enfants, les combinaisons absurdes d’éléments parvenaient toujours à faire rigoler la galerie.

 

La popularité de ce livre est dû aux illustrations d’Élise Gravel, mais aussi aux agencements qu’il contient, par exemple «est-ce que ça se peut, une brosse à dents qui vole?» qui ne manque pas de faire rire les plus petits et au fait qu’il permet aux parents d’en savoir plus sur la façon de penser de leurs enfants et de leur permettre d’expliquer pourquoi les combinaisons se peuvent ou pas.

 

De comprendre le fonctionnement du cerveau de son enfant donne lieu à des petits moments magiques qui deviennent de beaux souvenirs. Par exemple, alors que Joël jouait à «est-ce que ça se peut?» avec ses enfants, il posa la question suivante: «est-ce que ça se peut une grand-maman qui boit du café?» et, sans hésitation, ses deux enfants lui répondit «NON!». Sachant très bien qu’il est possible qu’une grand-mère consomme du café, il demanda à ses enfants pourquoi ils avaient dit ça et du tac au tac, ils lui dirent qu’il le savait bien… leur grand-mère ne boit que du thé! Joël avait beau leur expliquer que oui, c’est possible qu’elle déguste un café, mais non, pour eux ça ne se peut pas. 🙂 Tout n’est alors vraiment qu’une question de perception.

 

Une fois que Joël fut assez confiant en son idée, il décida alors de contacter Élise Gravel pour lui proposer une collaboration. Dans son message, il inclut une vidéo d’une partie d’«est-ce que ça se peut?» qu’il avait fait avec ses enfants et s’est avec ça qu’Élise Gravel réalisa le plein potentiel de la proposition de Joël. Convaincue, elle l’accepta et de là,  «Une patate à vélo – Le jeu» commença à prendre forme.

 

La création du jeu

Élise Gravel travailla donc avec l’équipe du Randolph et produisit 98 nouvelles illustrations (49 cartes Patates et 49 cartes Vélo) dans l’univers du livre pour «Une patate à vélo – Le jeu». Pour tous ceux qui raffolent déjà du livre, de découvrir de nouveaux personnages et d’avoir autant de nouvelles combinaisons possibles, c’est comme recevoir un paquet de bonbons; un pur délice! Avec toutes les nouvelles associations possibles, c’est aussi comme découvrir un nouveau «Une patate à vélo» à chaque partie! Joël et Élise étaient donc bien excités par la création de ce nouveau matériel.

 

Une fois que la production du jeu fût bien entamée, il ne restait qu’un élément à déterminer: l’impression. Ayant tous deux à cœur le bien-être de notre planète et voulant réduire leur empreinte écologique, Joël et Élise s’entendirent pour que le jeu soit imprimé au Québec et fait à partir de papier canadien FSC. Également, ils s’assurèrent que pour chaque arbre coupé dû à la production du jeu, un autre serait planté.

 

Le jeu étant maintenant bien réel, Joël s’est fait un plaisir de parler de son processus de création et de comment jouer au jeu dans cette vidéo:

Un jeu familial est né

Que vous soyez déjà un grand fanatique du livre «Une patate à vélo» ou pas, «Une patate à vélo – Le jeu» est un incontournable pour passer de beaux moments en famille. C’est un jeu rapide qui se joue en environ 20 minutes avec entre 2 à 4 joueurs et qui se veut à la fois éducatif et comique pour les enfants de 3 à 6 ans. Il est également possible d’y jouer avec un public plus jeune grâce à une règle adaptée qui fait omission du score. Par ses associations cocasses, les enfants pourront développer leur réflexion et leur empathie lorsqu’ils discuteront avec les autres joueurs. «Une patate à vélo – Le jeu» est un jeu qui a été conçu avec plaisir, pour le plaisir, qui, nous l’espérons, vous amusera pendant des heures et des heures!

 

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